Ce dimanche en F1, le GP d’Espagne crée une rupture dans le continuum espace-temps en parvenant à être rythmé et prévisible en même temps, Pirelli apporte des pneumatiques en guimauve rappelant les pires heures de 2011, Les pilotes ne peuvent toujours pas se dépasser à la régulière, Red Bull souffre d’un syndrôme de stress post-traumatique et le poleman remporte la course.
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