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Eugenio Castellotti
Eugenio Castellotti fut l’un des plus grands espoirs italiens des années 50. Élégant et rapide, il brille avec Ferrari en endurance et en F1, remportant notamment Sebring et le Mille Miglia. Idole du public italien et pressenti comme successeur d’Ascari, il meurt tragiquement à 26 ans lors d’essais privés à Modène.


Carlos Pace
José Carlos Pace brille en tant qu'outsider au milieu des années 70 avec Brabham. Son pilotage fluide et rapide culmine par une victoire mémorable à domicile, au Grand Prix du Brésil 1975. Promis à un grand avenir, il meurt tragiquement dans un accident d’avion en 1977. Le circuit d’Interlagos porte son nom.


Wolfgang von Trips
En 1961, il est en mesure de porter sa Ferrari rouge au sommet du championnat, livrant une bataille acharnée contre son coéquipier Phil Hill. Favori pour la manche décisive à Monza, von Trips s'accroche avec Jim Clark dans un incident tragique qui entraîne sa mort ainsi que celle de 14 spectateurs.


Stefan Bellof
Prodige allemand des années 80, Stefan Bellof détient toujours une aura particulière. Recordman du tour au Nürburgring Nordschleife en 1983, il impressionne en F1 dès Monaco 1984 avec une modeste Tyrrell. Disqualifié pour non-conformité, il reste un immense espoir du sport auto, disparu tragiquement aux 1000 km de Spa en 1985.


Bruce McLaren
Il lance son équipe en 1963, participant aux États-Unis, avant d'inscrire l'équipe en F1 en 1966. Il gagna les 24 heures du Mans avec Ford la même année, et une victoire avec son équipe en 1968.


Didier Pironi
Didier Pironi s’illustre chez Tyrrell, Ligier puis Ferrari. Connu pour sa rivalité tragique avec Gilles Villeneuve en 1982, il voit sa carrière brisée la même année par un accident au Grand Prix d’Allemagne alors qu’il menait le championnat. Il meurt en motonautisme en 1987.


Patrick Depailler
Dès ses débuts avec Tyrrell, Patrick Depailler se distingue par de belles performances face au prometteur Jody Scheckter.


Jules Bianchi
Il impressionne dès son premier Grand Prix en Australie et marque les esprit à Monaco 2014, où il inscrit les tout premiers points de l’histoire de Marussia grâce à une brillante 9e place. Ce résultat confirme son potentiel et renforce sa candidature pour un futur baquet Ferrari.


Jean Behra
Jean Behra, pilote français des années 50, passe du moto‑champion au héros des circuits automobiles. Malgré 9 podiums en F1, il ne remporte jamais de Grand Prix. Il se distingue par des victoires hors-championnat et un tempérament bouillant. Licencié de Ferrari après une altercation, il meurt tragiquement en course à AVUS en 1959.
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