Jules Bianchi
- Blabla
- 3 août
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Dernière mise à jour : 11 août
Jules Bianchi est né le 3 août 1989 à Nice, en France et mort le 17 juillet 2015 à Nice, suite à un accident lors du Grand Prix du Japon 2014.
Faits marquants
Jules Bianchi incarne la promesse tragiquement brisée d’une génération montante du sport automobile. Issu d’une famille de pilotes, il gravit les échelons du karting à la F1 avec brio, se forgeant une réputation de pilote rapide, intelligent et discipliné. Membre de la Ferrari Driver Academy, il débute comme pilote de réserve chez Force India avant de rejoindre Marussia en 2013.
Il impressionne dès son premier Grand Prix en Australie et marque les esprit à Monaco 2014, où il inscrit les tout premiers points de l’histoire de Marussia grâce à une brillante 9e place. Ce résultat confirme son potentiel et renforce sa candidature pour un futur baquet Ferrari.
Mais le 5 octobre 2014, sous la pluie de Suzuka, il heurte une grue en bord de piste. Victime d’une lésion cérébrale sévère, il tombe dans un coma dont il ne se réveillera jamais.
Constructeurs
Marussia (2013 - 2014)
Anecdotes
Une famille de pilotes
Jules en le descendant d’une lignée de pilotes : petit-fils de Mauro Bianchi et neveu de Lucien Bianchi, tous deux pilotes de sport automobile.
Parrain de Charles Leclerc
Jules Bianchi était le parrain de Charles Leclerc : les deux familles étaient proches à Monaco, et Jules, de six ans son aîné, a rapidement pris Charles sous son aile dès le karting. Ce lien dépassait la simple admiration : Bianchi a activement soutenu Leclerc et a contribué à le faire repérer par Nicolas Todt, son propre manager, qui deviendra aussi celui de Charles.
Les premiers points pour Marussia
En mai 2014, il inscrit les premiers points de Marussia en F1 en terminant 9ᵉ à Monaco, malgré un départ en 21ᵉ position. Une performance exceptionnellement saluée par Hamilton et Alonso .
Première tragédie en 20 ans
Son décès, survenu en juillet 2015 après neuf mois de coma, marque la première tragédie mortelle en Formule 1 depuis Ayrton Senna en 1994, soit plus de vingt ans sans perte humaine en Grand Prix. L'accident choque profondément le paddock et relance le débat sur la sécurité, menant notamment à l’introduction de la VSC et du Halo en 2018.
Numéro 17
À l’introduction des numéros permanents en 2014, Jules Bianchi choisit le numéro 17. Après son décès en 2015, la FIA retire officiellement le numéro 17 de la sélection, en hommage. Aucun autre pilote ne pourra plus l’utiliser en championnat du monde.
Pour le plaisir des yeux
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