Daniel Ricciardo
- Blabla
- 23 févr. 2024
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 30 mai
Daniel Ricciardo est né le 1er juillet 1989 à Perth en Australie.
Faits marquants
Junior Red Bull, Daniel Ricciardo crée la surprise en étant promu chez Red Bull en 2014 après le départ de Mark Webber. Il bat alors Sebastian Vettel, quadruple champion du monde, et remporte trois courses avec des dépassements sublimes avec des freinages tardifs, devenus sa signature.
Son humour naturel et sa décontraction tranchent avec le ton souvent lisse du paddock, faisant de lui l’un des pilotes les plus appréciés du public.
Après plusieurs saisons solides, il quitte Red Bull, convaincu que l’équipe misait tout sur Max Verstappen. Il rejoint Renault, où il brille par moments, sans pouvoir viser les sommets.
En 2021, il rejoint McLaren et y signe une victoire à Monza, mais peine à rivaliser avec Lando Norris. Ses performances déclinent, et il quitte la grille fin 2022. Son retour partiel chez AlphaTauri en 2023 ne ravive pas la flamme, mais il reste une figure populaire de la discipline.
Constructeurs
HRT (2011)
Toro Rosso (2012 - 2013)
Red Bull (2014 - 2018)
Renault (2019 - 2020)
McLaren (2021 - 2022)
AlphaTauri (2023)
RB (2024)
Anecdotes
Surnom : "Honey Badger"
Surnom autoproclamé, le Honey Badger (ratel en français) est un animal apparemment inoffensif, mais en réalité féroce et redoutable. Un sobriquet choisi pour rappeler qu’au-delà de son sourire se cache un concurrent à ne pas sous-estimer.
Le “shoey”
Après une saison 2015 difficile, Ricciardo commence à célébrer ses podiums improbables ou ses victoires en buvant du champagne dans sa chaussure. Une pratique issue de la culture australienne, remise au goût du jour dans les années 2010, devenue rapidement sa marque de fabrique.
Monaco 2018 : rédemption
En 2016, Ricciardo signe sa première pole à Monaco. Favori pour la victoire, Red Bull ruine sa course en oubliant d’appeler les mécaniciens lors de son arrêt, et il perd toute chance. En 2018, il reprend la pole. Victime d’un problème moteur dès le 17e tour, il résiste plus de 60 tours à Vettel et Hamilton pour remporter l’une des plus grandes victoires de sa carrière, saluée par tout le paddock.
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